25.10.18

un peu d'Octobre

Art Brut Japonais

à la Halle Saint Pierre 


Répétitions


Accumulations

des grandes dents

 de tous les côtés
 Cornes & tentacules


Un peu de couleurs
















Brève visite au Musée de Sèvres

  
il suffit de passer le pont..




Scènes bibliques et mythologiques





en majolique



D'horribles bestioles

se tortillent au fond des plats ...

Forces de la nature 


Dyrdal, Kvasbø et Tingleff
















Monumental à tous les plans



Tingleff






 




 



Kari Dyrdal

difficile à photographier








 



Que d'émail rouge !!!




Des tuyaux extrudés avec une machine



3.10.18

Biennales diffuses

Souvent j'erre dans les biennales en écoutant le bruit des visiteurs et du coin de l’œil, en déambulant, j'entremêle les œuvres les unes aux autres en superposition ou en collision. Plus le mouvement de mes pas...





Autres manières de voir et d'entendre





1.10.18

Mamac

Pignon-Ernest


villes et couvents
des hommes debout couchés à terre triomphants humiliés battus
des femmes visages anonymes
mains encombrées de paquets de valises 
de membres disloqués





celle du sacrifice et de la sainteté
portés, soutenus, pendus, dépendus


enfermés
des figures de la violence figurée ou réelle


des hommes debout couchés à terre triomphants humiliés battus


Involontaire Villeglé






6.3.18

Jean-Marc Maillot


N’hésitez pas à m'écrire si vous voulez voir les dessins en billet privé !



28.2.18

CPA Grenoble Trois Tours


Grenoble à travers les âges




Une tour au nom de montagne

CPA Les Malassis

CARTE POSTALE ANIMEE

Dans la série Grenoble au 20ème siècle



Le naufrage de la côtelette
En savoir plus ?



2.10.17

Détails en noir et blanc


Le clocher du séminaire, du couvent des Minimes, 
de l’Amphithéâtre Marcel Reymond, de la salle Olivier Messiean 
du temps qu'il était accessible.






Sur les poutres sont gravés les noms des séminaristes 
dont ceux qui partent en 1914.









La rue des Minimes avant la restauration.






Une cloche que je n'ai jamais entendu sonner , dommage ....




Un passant architecte s'est jeté sur la jambe de bois 
pour l'emporter chez lui..
Il n'en avait pourtant pas besoin ...

9.7.17

15.5.17

Via Corato Isère Dimanche


Un beau jour de soleil





au bord de l'Isère très noire..


les photographies de Bernard Meric


des humains vous regardent











En aval





et  en amont







Voie de Corato Grenoble from elisa burlet on Vimeo.

26.2.17

Cartes Postales Actualisées


Cartes Postales Anciennes et Actuelles Animées

Première carte d'une série à venir. Pourquoi laisser les cartes vieillir et moisir dans des cartons ?
Quelques ajouts permettent de les animer : ici un peu d'Isère filmée, et des acteurs empruntés à l'immense fond de mes documents et du Net.
Merci à la Bibliothèque du Congrès entre autres

Les monuments

POISSON INSOLUBLE





Comme au cinéma  !



27.5.16

Monnaies CPA

"Le fer et le charbon sont à mon sens les matériaux qui évoquent le mieux la révolution industrielle, les origines de la civilisation contemporaine."
Kounellis



 Le manufacturier, le fonctionnaire d'état.

Je pense qu'il y a une police, mais la loi doit être tellement étrange, que je renonce à me faire une idée des aventuriers d'ici.



Le rail, le pilier de fonte de l'architecte 
permettent la construction de ces palais de l'Industrie.





Femmes et hommes enfants alors réquisitionnés en masse, comme de la matière première : minerai, bois, jute,  houille, métallurgie lourde. 
Les bateaux, les cargos, les  steams-boats  ne font rêver qu'aux profits illimités, malgré ce que chantent les poètes de l'époque. 




Travail pour tout le monde 
Grandes inventions industrielles qui permettent à chacun
 -si pauvre soit-il- d’acheter enfin des biens manufacturés.


 


Fabrication du verre pour tout le monde, finie la poterie du village.
Songe aux millions de flacons et de verres qu'engendrent ces  industries pour la vie quotidienne.  A boire !





 Des villes entières sous le signe du métal, de l’outil, des couteaux.




 

Transporter, produire & vendre.









Le charbon plus précieux 
que l'or.





D’un œil fixe où la haine est près d’étinceler.
 Ils regardent les sacs mais n’osent pas parler.




Vestiaire ou dépouilles. L'humain en creux.







 "Je suis un éphémère et point trop mécontent citoyen d'une métropole crue moderne, parce que tout goût connu a été éludé dans les ameublements et l'extérieur des maisons aussi bien que dans le plan de la ville. Ici vous ne signaleriez les traces d'aucun monument de superstition. La morale et la langue sont réduites à leur plus simple expression, enfin ! Ces millions de gens qui n'ont pas besoin de se connaître amènent si pareillement l'éducation, le métier et la vieillesse, que ce cours de vie doit être plusieurs fois moins long que ce qu'une statistique folle trouve pour les peuples du continent. Aussi comme, de ma fenêtre, je vois des spectres nouveaux roulant à travers l'épaisse et éternelle fumée de charbon, - notre ombre des bois, notre nuit d'été ! - des Erynnies nouvelles, devant mon cottage qui est ma patrie et tout mon cœur puisque tout ici ressemble à ceci, - la Mort sans pleurs, notre active fille et servante, un Amour désespéré et un joli Crime piaulant dans la boue de la rue."

"Est-il étonnant que dans de telles localités, on néglige de prêter la moindre attention à la santé, aux bonnes mœurs et même aux règles les plus élémentaires de la bienséance ? Au contraire, tous ceux qui connaissent bien la situation des habitants, témoigneront du haut degré qu'ont atteint ici la maladie, la misère et l'absence de morale. La société est tombée dans ces régions à un niveau indescriptiblement bas et misérable. Les logements de la classe pauvre sont en général très sales et apparemment jamais nettoyés, de quelque façon que ce soit; ils se composent dans la plupart des cas, d'une seule pièce - où, bien que l'aération y soit des plus mau­vai­ses, il fait toujours froid à cause des fenêtres cassées, mal adaptées - qui est parfois humide et parfois au sous-sol, toujours mal meublée, et tout à fait inhabi­table, au point qu'un tas de paille sert souvent de lit à une famille tout entière, lit où couchent dans un pêle-mêle révoltant, hommes et femmes, jeunes et vieux. On ne peut se procurer de l'eau qu'aux pompes publiques, et la difficulté qu'on a à l'aller quérir, favorise naturellement toutes les saletés possibles."








Là-bas,
Un steamer rauque avec un bruit de corne.
Sur l’immensité noire une lumière brille
Et se dirige à la rencontre du steamer
Qui stoppe avec des bruits de vapeur et de fer.
Dans la nuit un sifflet perce comme une vrille.





Rimbaud, Engels, Beauregard

12.5.16

Alerte !


Alerte ! 

Les vandales commencent à frapper ! Ou les brocanteurs ?



Un iséromètre * furieusement arraché dans une rue très bourgeoise de la ville. 

Que fait la police du patrimoine ? 

 *Voir la page consacrée à ces niveaux.