29.1.15

Mac Orlan

De gentilles caricatures des écrivains 
appréciés en ces années-là.


J'avoue ne pas l'avoir lu...


 Non plus ..



Celui-là, plutôt deux fois qu'une . Aaaah, Nathanaël !




Celui des Oberlé et de Tuilette ?




Une valeur sûre, cette chose qui fait bien prier !



Bien parisienne, celle-ci.


Pour tout bagage...
avant de s'installer Place des Vosges ?



Loin du cannibalisme, de la gastronomie familière :
pas de raison de se priver de ce délicieux poème.

Quand j'étais tout petit, nous dînions chez ma tante,
le jeudi soir ; papa la jugeait dégoûtante
à cause d'un lupus qui lui mangeait le nez :
ce m'est un souvenir si doux que ces dîners !
Après le pot-au-feu, la bonne Marguerite
apportait le gigot avec la pomme frite
classique et c'était bon ! je ne vous dis que ça !
Chacun jetait son os à la chienne Aïssa.
Moi, ce que j'aimais bien c'est l'andouille de Vire ;
je contemplais (ainsi que Lamartine Elvire)
sur mon assiette à fleurs les gros morceaux de lard,
et je roulais des yeux béats de papelard
et ma tante disait : 'Mange donc, niguedouille !...'
Ô Seigneur, bénissez ma tante et son andouille !
La Négresse blonde


  
Jamais entendu parler !



Plume de cygne, certainement



Des breloques et autres brimborions.



 

 D'autres publicités sournoises.

L'ennui avec ces caricatures, lorsque le contexte, est perdu, le sens s'évapore !

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